La citation de la semaine
Lâcher prise, ne signifie pas arrêter de se soucier des autres, mais refuser d’agir à leur place.
Lâcher prise, ce n’est pas me détacher, mais c’est de me rendre compte que je ne peux diriger quelqu’un d’autre.
Lâcher prise, ce n’est pas d’enseigner à autrui, mais c’est de lui permettre d’apprendre les conséquences de ses actes.
Lâcher prise, c’est admettre son impuissance, ce qui signifie que le résultat ne dépend pas de moi.
Lâcher prise, ce n’est pas d’essayer de changer ou de blâmer quelqu’un d’autre, je peux seulement me changer moi-même.
Lâcher prise, ce n’est pas de s’occuper de quelqu’un, mais de s’intéresser à quelqu’un.
Lâcher prise, ce n’est pas de décider pour autrui, mais c’est d’être un soutien.
Lâcher prise, ce n’est pas de juger, mais de permettre à un autre d’être un être humain.
Lâcher prise, ce n’est pas d’essayer de déterminer tout ce qui va arriver, mais c’est de permettre aux autres d’influer sur ce qui va leur arriver.
Lâcher prise, ce n’est pas d’être protecteur, mais de permettre à un autre d’affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n’est pas de renier, mais c’est d’accepter.
Lâcher prise, ce n’est pas de harceler, gronder ou argumenter, c’est de chercher mes propres défauts et de les corriger.
Lâcher prise, ce n’est pas d’adapter toutes choses à mes désirs, mais c’est de prendre chaque jour comme il vient.
Lâcher prise ce n’est pas de critiquer et de diriger autrui, mais d’essayer de devenir ce que je rêve d’être.
Lâcher prise, ce n’est pas de regretter le passé, mais de grandir et vivre pour l’avenir.
Lâcher prise, c’est de craindre moins et d’aimer davantage !
Tiré du livre « Eveil à la grâce » de Charles R.SWINDOLL
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